A la poursuite de Julius.

Edward courait, nu pied, cheveux détacher en fouillis, puis ils ‘arrêta, c’était fini, de plus il ne savais pas par ou il avait filler. Le petit blond s’assit au pied d’un arbre, quelque minute, puis reparti marcher, il se rassit, sur le bord de rivière. Il émailla ses cheveux comme il le pus, puis s’allongea.

Ses yeux d’or se posèrent sur les nuages blancs qui passait au dessus du monde avec lenteur, et il leva la main.

« Un est tout, et tout est un…. Finalement avec Alphonse on sera toujours seul… »

Il ferma les yeux, remettent sa main sur son ventre, des larmes scintillant sous ses cils, et venant lui brûler les yeux avant de glisser sur ses joues pale, et de finir leur course dans l’herbe et ses cheveux. La il fini par s'endormir.

Alchimiste Nombre de messages : 209 Date d'inscription : 07/05/2007

Julius avait vu Edward courrir, il était en haut d'une colline et surplombé les environs, il suivait le parcours du blond avec un pincement au coeur, sensation qu'il n'avait plus éprouvé depuis des années, ceci le renforça dans sa décision de partir, il vit Edward s'arrêter puis s'allonger au loin, il ne bougeait plus, Julius alla le voir, le petit dormait et semblait avoir pleurer, Julius le regarda Edward ne le vit pas mais pour la première fois ses yeux étaient bienveillants comme un père regardant son fils:

"Désolé petit, mais tu ne comprendrais pas pourquoi je fais ça, c'est mieux pour nous deux, j'ai été stupide de croire qu'une nouvelle vie s'offrait à moi, sans morts ni rien de tout ça, mais les hommes comme moi qui ont répendu la mort toute leur vie ou presque sont voués à l'enfer et je ne veux pas t'y entrainer, l'espace de quelques semaines tu m'as redonné goût à la vie, et ça je ne l'oublierai jamais, tout comme toi d'ailleurs."

Il le regarda un moment:

"Faut pas pleurer pour moi petit, désolé Ed..."

Il enleva alors sa chaîne d'argent qu'il portait et la mis sur le ventre d'Edward, puis il embrassa le blond sur le front et partit. Il avait peur depuis qu'il connaissait Edward, peur de le voir souffrir ou mourrir et de ne pas s'en remettre alors il préférait renoncer à ce qui était à ses yeux une faiblesse quitte à ne plus voir la personne qui comptait le plus pour lui.

*L'amour fait trop souffrir, il ne faut pas aimer qui que ce soit pour être fort.*

Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 10/05/2007

Au même moment un homme de la carrure d'Alphonse fit irruption dans la maison des Rockbell, il avait un pistolet à la main et était accompagné de quatre hommes avec des mitraillettes, cet homme c'était le colonel King, il entra avec ses hommes:

"Où est Edward Elric ? Vous êtes tous en état d'arrestation, vous avez hébergé un déserteur nous le savons, un de nos hommes l'a vu ce matin sortir de chez vous, alors vous allez tous nous suivre jusqu'au poste de l'armée le plus proche, mais avant dites moi où est Elric."

Il regarda Alphonse:

"Ne fais pas l'idiot toi sinon tu auras des problèmes toi et ceux de cette maison."

Edward se réveilla, seul. Et fut surprit de voir le collier, celui que Julius portait, il était certes étrange, mais c’était un cadeau, il le passa autour de son cou. Et rebroussa chemin, il ne savais pas pourquoi Julius était parti, cela lui faisait mal mais bon…

Arrivant vers la maison, il vit dans l’encadrement de la porte des soldats.

« Que se passet-il ? »

Les hommes se retournèrent, et se jetèrent sur Edward l’immobilisant au sol, a plat ventre, les mains dans le dos.

« Lâchez moi ! Qu’est ce qui vous prend ?! Lâchez moi immédiatement c’est un ordre ! »

Habituellement Edward se fichait bien des titres, et tutoyait tout le monde, et surtout, n’usais jamais de la moindre autorité, comme donner des ordres. Il n’aimait déjà pas en recevoir, alors ce n’était pas pour en donner. Les soldat hésitait, le relâcher ou pas, après tout Edward était aussi leur supérieur hiérarchique.

« Et laissez ma famille ! si c’est moi que vous voulez, je viendrais avec vous, mais eux n’on rien fait de mal ! D’ailleurs pourquoi vous m’arrêté ? »

Al : « vous ne pouvez pas l’arrêter pour désertion »

Alphonse sorti un papier, signer de la main du colonel, et d’autre signature, de supérieur. C’était une permission, Edward était donc en vacance.

Alchimiste Nombre de messages : 209 Date d'inscription : 07/05/2007

Julius marchait, il s'était réinstallé sur sa colline surplombant les alentours, il se sentait mal, mal d'avoir laisser son ami, Edward n'avait que 15 ans après tout, c'était encore un enfant, comment pouvait il comprendre son geste, Julius se disait que la douleur d'avoir laisser son ami passerait avec le temps, mais il avait peur de souffrir en s'attachant à Edward, il avait aussi peur de l'entrainer avec lui, mais en y réfléchissant bien, c'était Edward qui l'entrainait vers la vie et non Julius qui entrainait son ami vers la mort, résultat il avait laissé tomber son ami, et reprenait sa marche avec la mort à ses côtés, il était perdant sur tout les plans. Et puis de sa vie jamais il n'avait fuit, il n'aimait pas ce sentiment, il se pencha sur la rivière et vit son reflet et pour la première fois il avait l'impression de ne plus pouvoir se regarder en face. Il ne savait plus ou il en était ni ou était sa place, alors il resta la à rélféchir.

Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 10/05/2007

Edward vit deux pieds devant lui, en levant son regard il vit le colonel King:

"Ne le lâchez pas c'est un ordre."

Puis il s'adressa aux deux autres soldats:

"Il manque une fille, trouvez la !"

King prit le papier et sourit avant de le laisser tomber:

"Ce n'est pas Edward le déserteur mais Johnson et on sait que vous l'avez hébergé, un homme l'a vu et me l'a décrit et ça ne peut être que lui."

Johnson avait été un temps recherché par l'armée mais ça n'était plus le cas depuis longtemps, si King le raménerait il aurait surement une prime mais rien de bien magnifique non plus, la plus part des hauts gradés ayant décidé d'abandonner la poursuite de Johnson. En fait pour King s'était un prétexte pour arrêter Edward. Puis il sourit:

"Quelle famille, tu n'en as plus, ici c'est les Rockbell pas les Elric, c'est pas ta famille et la boite de conserve non plus, c'est même plus un homme.
Aller garder les et lacher Edward."

Les deux soldats restants pointérent leur fusils sur Alphonse et Pinako:

"Au moindre geste déplacer faites feu."

Il emmena Edward dehors à l'écart:

"Ecoutes, je peux te faire arrêter à cause de Johnson toi et tes amis alors tu as intérêt à te taire sur la chimère et à me rendre un service sinon vous irez tous en taule."

Diciple en auto-mail Nombre de messages : 109 Date d'inscription : 15/05/2007

Winry fût sortie de son lit par deux hommes armés, elle fût descendue sans ménagement, là elle reconnue l'homme qu'elle avait rencontré il y a quelques semaines à Resembool, c'était le colonel King si elle avait bonne mémoire, elle vit Alphonse mais son attention alla sur Edward qui était emmené par King:

"Fais attention Ed !!! Lâchez moi, lâchez le, arrêtez !!!"

La blonde se débattait mais en vain elle avait peur pour elle mais surtout pour Edward qui était en de mauvaises mains avec ce militaire. Elle cherchait du regard Julius mais il n'était pas la.

Edward fut relever sans ménagement puis relâcher, il se contenais pour ne pas frapper l’homme.

« Les gens que j’aime et qui m’aime font parti de ma famille et de mes amis, tout être confondu ! Et je vous interdis d’insulter mon petit frère ! C’est un humain ! Un vrai être humains, et beaucoup plus que vous ! Quand a l’homme d’on vous me parlez, on ne le connais pas ! Alors fichez nous la paix ! Je vous suivrais si vous le voulez, mais laissez les ! »

Al : « Nii-san… »

Alphonse entendent les cris de son frère, voulut le rejoindre, mais les armes a feu pointé sur lui et Pinako ainsi que Winry l’en dissuadèrent.

Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 10/05/2007

Le visage de l'homme se durcit il n'aimait pas que l'on se fiche de lui:

"On va vite savoir si tu ne sais vraiment rien sur cet homme, ta soit disant famille sera surement plus bavarde que toi sur ce sujet."

Il mit son revolver sur la tampe du blond et lui pris le bras gauche le serrant très fort pour qu'Edward ne puisse le bouger:

"Mais la n'est plus la question, vous l'avez héberger je le sais, alors voila ce que je te propose pour sauver ta peau et celle de tes amis que ce soit celle de Julius, des filles ou de ton frère. Un tu devra te taire sur la fameuse chimère, si jamais ça se sait par qui que ce soit de gênant je descendrais ta pseudo famille au trou. Deux, tu vas me rendre un service, à l'est du pays pas trop loin de Lior j'ai entendu dire qu'il y avait un homme qui détenait des pierres rouges, ramènent les moi toutes et toutes les infos que tu trouveras sur la pierre philosophale sinon tu sais ce qui se passera, alors tu es partant ?"

Le blond gronda, et se dégagea de l’arme,e t mit son poing dans le nez de l’homme. Puis regarda les soldats.

« Dégager ! Comment vous pouvez obéir aux ordres d’un assassin ! Partez immédiatement ! »

Transmutant le sol, il les fit sortir, et désarmer au passage, ainsi que King, puis les enferma dans une cage.

« Winry appelle le colonel Mustang, Alphonse va prendre des billet de train, mamie, allez prévenir la police du village, moi je les surveille. »

Ho ils avait très bien qu’il ne s’en titrerait pas a si bon compte, mais s’il pouvait les protéger.

« Winry, tu appellera le colonel depuis le poste de police, va avec tantine. »

Le blond transmuta son auto-mail en lame, juste au cas ou pour se défendre.

« Vous n’auriez pas du me faire de chantage… »

Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 10/05/2007

"Alors ça..., tu vas le payer morveux."

A ces mots il fit une transmutation pour créer une explosion et casser la cage, il avait repéré ou était son pistolet, il sauta dessus une fois libre, et visa la première personne qui traversa son viseur, c'était Winry. Une détonation retentit et la balle partit, par chance Winry surprise par la détonation manqua de tomber et au lieu de prendre la balle en pleine tête cette dernière lui effleura le bras:

"Toi va prévenir les flics avant la vieille dis leur que des membres de l'armée ont été agressés, avec la voiture tu y arrivera plus vite."

Un soldat partit prévenir la police lui aussi, les trios autres avaient ramassé leurs armes et les pointèrent vers le blond, King releva la fille et mis son revolver contre sa joue:

"En tirant d'ici elle sera vivante, mais plus aussi belle tu peux me croire petit. Alors restes tranquille, pour commencer tu vas rester droit et on va rigoler."

Le colonel demanda à un de ses hommes de lui donner un deuxième revolver, il tenait Winry contre lui avec son avant bras un revolver sur sa joue, l'autre bras était tendu vers Edward, ce dernier était entouré des 3 autres militaires prêt à faire feu. Le colonel sourit:

"La première balle va se figer dans ton bras gauche, la deuxième dans ton genoux droit, puis ta cuisse gauche, après ça tu ne pourras plus rien faire et on va encore plus se marrer tu vas voir. Tu bouges d’un centimètre et elle est défigurée, alors ?
"

Alchimiste Nombre de messages : 209 Date d'inscription : 07/05/2007

La détonation se fit entendre Edward be bougea surement pour protéger son ami, mais curieusement il ne sentit rien, et pour cause quelqu'un qu'il connaissait bien s'était mis devant lui. La personne trembla et mis finalement un genoux à terre, Julius avait été touché en haute à droite de la poitrine en protégeant son ami, de sa colline il avait vu une agitation anormale, et il eu un mauvais pressentiment, il s'était donc décidé à aller aider au cas ou son ami car ça lui faisait trop de mal de rester sans rien faire et il n'avait pas pu partir en ayant à l'idée qu'Edward était en danger. Il se retourna, du sang coulait un peu de sa bouche:

"Tu l'as mi, le collier..., c'est bien..."

Puis il sourit, il avait le souffle court:

"Content que t'ailles bien mon grand..., mais la je vais pas pouvoir t'aider plus..."

Edward avait en effet bougé pour secourir Winry, quand one st bête et désespéré, on l’est jusqu'à la fin. Puis en voyant Julius ainsi, qui l’avait protégé, il le prit dans ses bras.

« T’es revenue… »

Le blond releva les yeux sur le colonel.

« Julius n’est pas un déserteur, il a démissionner il y as longtemps ! Ce n’est pas pareil, vous vouliez juste des excuse pour que je bosse pour vous ! »

Il resserra sa prise sur son ami.

« C’est bon, je ferais ce que vous me dites, mais lâcher Winry, et laissez les tous. Et appelez des secours ! »

Le blond pleurais presque, il en avais marre de souffrir inutilement.

Nombre de messages : 18 Date d'inscription : 10/05/2007

Le colonel sourit, son revolver était pointé sur Julius maintenant, le blond pleurait presque et ça le réjouissait, ilaimait voir les autres souffrir, il y prenait plaisir:

"Ecoutes bien, tu vas aller à la recherche des ces pierres rouges et des infos sur la pierre philosophale dans un bourg à une cinquantaine de kilomètres de Lior, je te laisserais une carte pour que tu le trouves, ramènes moi les pierres et le plus de renseignement possible sur la pierre philosophale."

Il lâcha Winry et fit signe à ses hommes de reculer:

"Un conseil n'échoue pas petit."

Il passa devant Juliuset lui jeta un regard méprisant:

"Tu es tombé bien bas pour être ami avec quelqu'un comme ça."

King monta dans une voiture avec ses hommes:

"Pour les secours débrouillez vous et surtout n'échoue pas."

La voiture démarra et disparue au loin.

Alchimiste Nombre de messages : 209 Date d'inscription : 07/05/2007

Personne ne l'avait pris dans ses bras depuis son départ de chez lui. Edward semblait tenir à lui et ça lui faisait plaisir. Il ne dit rien à King, il avait du mal à parler et préférait garder sa salive pour son ami, une fois King partit Julius sourit, il sentait le coeur de son ami battre très fort:

"Merci Ed... et désolé..."

Il prit alors Edward dans ses bras, il avait toujours un genou à terre, il ramena la tête du blond sur son épaule droite:

"Edward, excuses moi de t'avoir fait pleurer tout à l'heure, je voulais pas te faire souffrir, et s'il te plait ne pleure pas maintenant, faut pas pleurer pour quelqu'un comme moi."

Il avait dit ça d'un trait aussi il dû s'arrêter contraint par sa blessure, il serra fort Edward contre lui, il aimait ce garçon plus que comme un ami, presque comme un fils. Mais Julius avait le souffle court à cause de sa blessure qui lui rendait difficile la respiration.

Diciple en auto-mail Nombre de messages : 109 Date d'inscription : 15/05/2007

Tout cela était allé si vite, Winry ne savait plus où elle en était, d'abord elle avait eu peur pour Edward puis pour elle quand la balle lui brula le dessus de l'épaule en la frolant, pour la première fois de sa vie elle avait vu la mort de très près. Elle était choquée et ne se défendait pas face à King, il faut dire qu'elle ne pouvait pa non plus faire grand chose face à la puissance de cet homme. Elle en voulait à Julius, il les avait laissé et cet homme le cherchait c'était donc de sa faute, c'est ce qu'elle pensait jusqu'au moment où ce dernier se jeta pour protéger Edward qui courait pour l'aider. Julius venait de lui sauvait la vie, il ne l'avait pas abandonné. Puis King expliqua ce qu'il voulait et relacha ensuite Winry, la jeune fille en avait trop vu pour une journée, elle était vidée émotionellement et finit par craquer, elle sanglotat un moment, pourquoi cet homme si cruel s'en prenait à Edward pourquoi devait il toujours souffrir ainsi lui qui ne voulait pas de mal à qui que ce soit. Mais elle se consola en voyant Julius s'expliquait et prendre Edward dans ses bras, Edward pleurait presque pour lui et lui semblait aimé Edward du fond du coeur, alors WInry se dit qu'elle s'était trompée que Julius était aujourd'hui un homme bien.
Elle s'approcha et posa sune main sur l'épaule droite d'Edward et une sur l'épaule gauche de Julius et elle sourit, elle avait encore les yeux rouges:

"On va vous soignez monsieur et bien, un Ed^^."

Edward se laissa étreindre par l’homme.

« Toute personne bien mérite que l’on pleure pour elle… »

Alphonse plus loin se sentait mal aussi, il c’était arrêter en entendant les coup de feu, et était revenue sur ses pas, jamais il ne partirait sans son frère. Il regarda la scène,

Al : « Nii-san à trouver un autre papa que le notre. C’est triste, mais c‘est bien pour lui. Si Nii-san aime cette homme c’est qu’il est bon. »

Il s’approcha alors, et fit lâcher Julius qui tenait encore son frère, un peut jaloux tout de même. Puis souleva aisément l’homme.

Al : « Allons vite a la clinique. »

Fit le plus jeune. Puis tous partirent.

(Je vous laisse faire dans la clinique si vous voulez faire un autre sujet ^^)

» Julius Johnson